Jean Auguste SCHMITT (1885 † 1952) - Mémorial des Nomades et Forains de France

Johann August SCHMITT, manœuvre journalier, vannier, français (1885 † 1952)

Né à Geblingen (Guéblange-les-Sarralbes, Moselle),le 12/27/1885, fils de Johann SCHMITT et de Rosaline KOBŸ, veuf en premières noces de Marie MUNCK ; Mariage à Marmoutier (Bas-Rhin) en 1917 avec Joséphine WEYER (1896-1988), en présence de Emil WEYER et de Laurent SCHAEFFER (24 ans), 11 enfants, dont Caroline SCHMITT (1919, Marmoutier † Metz, 1993), Anna SCHMITT (1921, Marmoutier) (4 enfants au camp (Joséphine SCHMITT (1925), Auguste SCHMIDT (1928), Marguerite SCHMIDT (1929, après 1988), Joseph ou Joséphine SCHMIDT (17/12/1930) ? ] catholique, catégorie T.

Expulsé d’Alsace sur Lyon (Rhône),

Interné au camp d’Agde (Hérault),

Interné au camp de concentration d’Argelès (Pyrénées-Orientales),

Retour de la commission Todt à Brest (Finistère),

Interné au Camp d’Hébergement de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) matricule 12982, le 08 novembre 1941. Évadé le 24 novembre 1941. Retour au camp, îlot Q, matricule 14047, le 26 mars 1942. N° de sortie 1550.

Transféré le 27 mars 1942 au camp de concentration du Barcarès (Pyrénées-Orientales), n° de sortie 7749.

Retour au Camp d’Hébergement de Rivesaltes, matricule 14829. Dirigé sur le camp de Saliers le 20 juillet 1942, n° de sortie, 3596, n° 20 dans le convoi.

Interné au Camp de Nomades de Saliers (Bouches-du-Rhône) le 21 juillet 1942, matricule 50, cabane 23. Interné le 27 novembre 1942, matricule 132, cabane 5. Evacué sur l’hôpital d’Arles du 08 janvier au 17 janvier 1943. Libéré le 15 avril 1943.

Décès à Marmoutier (Bas-Rhin) en son domicile, 4, Sindelsberg, le 31 mai 1952, sur déclaration de sa fille Joséphine SCHMITT, sans profession, domiciliée à Marmoutier.

Parcours géographique